ゆき子 の ホウレン 草 - L'épinard de Yukiko
Nous poursuivons à rebours l'exploration de la carte du Tendre de ce sacré Frédéric Boilet, alors si vous avez raté les épisodes "précédents" référez-vous aux articles sur Tokyo est mon jardin et Mariko Parade.
Pour faire court mais pas simple :
- dans le premier il donnait les traits de son épouse Kaoru à Kimie, la petite amie de "David Martin" ;
- dans le troisième il s'inspirait de Mariko pour camper... Mariko, "la petite amie du mangaka" ;
et dans celui-ci, comme il raconte successivement la courte histoire entre lui (?) et Yukiko puis sa rencontre avec Mariko, il y a du Yukiko et du Mariko dans le visage de Yukiko. Puis du Mariko chez Mariko !
Le pitch est simple : c'est l'aventure de F.Boilet avec une japonaise qui a en fait des vues sur un de ces amis. Ca ne les empêche pas de s'éclater "en attendant", jusqu'à ce que l'ami se manifeste de nouveau. Alors Boilet rencontre Mariko (dans un train).
Décrit comme ça c'est loin d'être épastrouillant, en fait c'est très beau.
Il y a beaucoup d'enchaînements d'images sans paroles avec transitions "de moment à moment" qui font comme de véritables plans de cinéma. Il y a des trouvailles graphiques (les pages de crayonné sur agenda, la séance de purikura...). Il y a le noir et blanc "à la Boilet". Il y a les scènes de sexe superbes, mais il y a aussi tous les sentiments de Boilet pour les femmes qui apparaissent : amour, émerveillement, tendresse, nostalgie, tristesse...
Les opus actuels de son oeuvre concernent la relation plus charnelle qu'il a actuellement avec Aurelia Aurita et je vous entretiendrai prochainement.
Au fait, pourquoi "L'épinard" de Yukiko ? C'est ma question !
Pour faire court mais pas simple :
- dans le premier il donnait les traits de son épouse Kaoru à Kimie, la petite amie de "David Martin" ;
- dans le troisième il s'inspirait de Mariko pour camper... Mariko, "la petite amie du mangaka" ;
et dans celui-ci, comme il raconte successivement la courte histoire entre lui (?) et Yukiko puis sa rencontre avec Mariko, il y a du Yukiko et du Mariko dans le visage de Yukiko. Puis du Mariko chez Mariko !
Le pitch est simple : c'est l'aventure de F.Boilet avec une japonaise qui a en fait des vues sur un de ces amis. Ca ne les empêche pas de s'éclater "en attendant", jusqu'à ce que l'ami se manifeste de nouveau. Alors Boilet rencontre Mariko (dans un train).
Décrit comme ça c'est loin d'être épastrouillant, en fait c'est très beau.
Il y a beaucoup d'enchaînements d'images sans paroles avec transitions "de moment à moment" qui font comme de véritables plans de cinéma. Il y a des trouvailles graphiques (les pages de crayonné sur agenda, la séance de purikura...). Il y a le noir et blanc "à la Boilet". Il y a les scènes de sexe superbes, mais il y a aussi tous les sentiments de Boilet pour les femmes qui apparaissent : amour, émerveillement, tendresse, nostalgie, tristesse...
Les opus actuels de son oeuvre concernent la relation plus charnelle qu'il a actuellement avec Aurelia Aurita et je vous entretiendrai prochainement.
Au fait, pourquoi "L'épinard" de Yukiko ? C'est ma question !